Le Conseil de prud’hommes de PARIS juge qu’un représentant du personnel constamment sous pression du fait de nombreuses procédures disciplinaires engagées par son employeur est victime d’un préjudice d’anxiété.
A ce titre, il se voit attribuer 100 000 € de dommages-intérêts.
Le préjudice d’anxiété avait été retenu jusqu’à présent uniquement pour les victimes de l’amiante et les mineurs lorrains.
Cette décision est donc inquiétante.
A suivre en appel…